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Campus social de l'Université Assane SECK de Ziguinchor

Ce 17 juillet, sous les dorures du CICAD, le Président de la République Diomaye Faye a donné le coup d’envoi d’un chantier inédit : refonder, repenser, relier l’université sénégalaise à son époque et à son avenir. Avec l’Agenda National de Transformation de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (ANTESRI), le Sénégal engage une ambitieuse refondation de son université à l’horizon 2050.


Une refondation à l’échelle d’un pays.

C’est devant un parterre de ministres, d’universitaires, de chercheurs et d’acteurs des œuvres sociales que le président Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a officiellement lancé l’Agenda national de Transformation de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (ANTESRI). L’événement, tenu le jeudi 17 juillet 2025 au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD), pose les fondations d’une vision 2050 pour l’université sénégalaise.

Ce processus inédit se veut participatif, inclusif et stratégique. Il réunit l’ensemble des parties prenantes du secteur à travers huit commissions thématiques appelées à formuler des propositions concrètes, en rupture avec les schémas hérités de la période postcoloniale.

« Il s’agit désormais de bâtir une université plus souveraine, équitable et innovante, arrimée aux priorités économiques et culturelles du pays », a déclaré le Chef de l’État.

Le CROUSZ parmi les acteurs mobilisés

Présent à la cérémonie, Dr Salif BALDE, Directeur du CROUS de Ziguinchor, a pris part aux échanges aux côtés de Serigne Mbacké LO, Directeur du CROUS de Thiès et représentant national des CROUS. Ce dernier a rappelé que les œuvres sociales – restauration, logement, accompagnement de la vie étudiante – constituent un levier fondamental de performance et d’équité dans cette nouvelle architecture universitaire.

La participation du Dr Salif BALDE incarne l’engagement du CROUSZ dans cette dynamique nationale, en cohérence avec les chantiers entamés dans le sud du pays pour améliorer les conditions de vie et d’études.

Au-delà des amphithéâtres et des ministères, l’ANTESRI tend l’oreille au pays tout entier. C’est un appel lancé aux étudiants comme aux parents, aux chercheurs comme aux artisans, pour bâtir ensemble une université utile, équitable et enracinée.

À l’horizon 2050, l’ambition affichée est claire : faire du système ESRI sénégalais un moteur de transformation économique, sociale et scientifique du pays.

Le 15 juillet 2025, lors d’un déjeuner de presse organisé à Dakar, Dr El Hadji Abdourahmane Diouf, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, s’était exprimé sans détour sur l’engagement de l’État envers les étudiants.
« Entre 2024 et 2025, l’État a investi plus de 24 milliards FCFA pour améliorer les conditions de vie des étudiants », avait-il déclaré devant un parterre d’invités et d’acteurs de l’ESRI.
En avançant ce chiffre, le ministre ne cherchait pas simplement à impressionner. Il posait un jalon. Celui d’un virage politique affirmé, où la vie estudiantine ne serait plus une variable d’ajustement budgétaire mais un enjeu central de gouvernance.
Une prise de parole qui, à deux jours de l’événement majeur du jeudi, sonnait déjà comme une mise en garde… ou comme une promesse.

En engageant cette profonde refondation, le Sénégal parie sur l’intelligence collective et la volonté politique. L’ANTESRI ne sera pas un slogan, mais un chantier de rupture : celui d’un enseignement supérieur repensé par et pour les Sénégalais. Le futur de l’université se dessine maintenant.
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